0/ En quelle année étiez-vous en DJCE ?
2014/2015
1/ Peux-tu présenter brièvement ton parcours universitaire ?
J’ai fait toutes mes études universitaires à Caen mise à part ma L3 que j’ai passée à l’université d’Aarhus au Danemark. À mon retour, j’ai continué en M1 Droit des affaires pour ensuite rejoindre le M2 DJCE. J’ai enchaîné avec le barreau, rejoint l’Ecole des Avocats du Grand Ouest, fait mon stage PPI chez EDF à la Défense puis mon stage final chez Altana, dans son département Restructuring. Je suis depuis 2018 avocat dans le Cabinet Aston à Paris, au sein de son département Restructuring
2/ Pourquoi avoir choisi le DJCE ?
Le DJCE s’est imposé comme un choix de la raison de par sa qualité et sa renommée. Je désirais avoir des bases solides dans toutes les matières phares du droit des affaires.
3/ Vers quel certificat t’es-tu finalement orienté ou comptes-tu t’orienter ? Pourquoi ?
J’ai donc toujours su quel certificat je souhaitais faire : le droit du commerce international, qui est une matière que je trouve passionnante, et ce d’autant plus qu’elle se pratique majoritairement en anglais. Pas de chance (pour les autres, ou pour moi?), ce certificat a dorénavant disparu.
4/ Quels sont, selon vous, les points forts du DJCE ?
D’une part, le DJCE est indéniablement une formation de très bonne qualité, apportant des connaissances dans les matières essentielles du droit des affaires et permettant d’avoir une vision globale des choses. C’est particulièrement utile dans le milieu des restructurations d’entreprises, qui est à la croisée de nombreux domaines. Le DJCE permet de développer également sa force de travail, ce qui est un atout indéniable tant pour la préparation du CRFPA que pour la vie professionnelle. Enfin, le DJCE est très recherché par les recruteurs, ce qui n’est pas un apport négligeable. D’autre part, et d’un point de vue plus personnel, le DJCE permet la création d’un véritable esprit de promotion et de tisser des liens avec des camarades qui, je n’en doute pas, survivront longtemps au passage du temps. C’est d’ailleurs au cours de cette année finale de master que j’ai rencontré certains de mes amis les plus proches. Globalement, je garde de très beaux souvenirs de cette formation.
5/ Un conseil pour les futurs candidats ?
Outre le classique « travailler » ? Le même que j’ai donné à la promotion 2015/2016 : ne pas négliger la vie de promotion. Prendre le temps de prendre du bon temps avec les autres élèves est aussi important que d’étudier.
Pierre DUPUYS